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DEPLACER LA BULLE

Bon, « déplacer la bulle ». On déplace des bulles, mais avant, il faut une bulle. Je connais l’expression « buller », rien foutre. Mais là, vide total, on se passera de science exacte aujourd’hui. Bah, ma science a jamais été exacte … ça n’a jamais été une science non plus, ok. Bon, on prend une bulle et … on la déplace … comme ça … voilà ! C’est fou la vie, la bulle, elle bulle ? Bah ouai, elle a une vie facile, c’est une fille facile. Trop de filles faciles qui bullent dans ce monde. Rien de nouveau. Pas de science nouvelle pour aujourd’hui. 

 

Bulle + bulle qui bulle = fille facile

 

Et bah voilà, on la tient notre nouvelle formule ! Pour quoi foutre ? Rien, rien … Trop de scientifiques maintenant et moi avec ma science exactement nouvelle qui découvre qu’une bulle est une fille facile. Bon, dans un texte, on va remplacer le mot « prostituée » par « bulle », histoire de s’éclater un peu (pas mal le jeu de mots là) :

 

Aujourd’hui, dans la rue, une bulle. La bulle est une fille facile.

 

J’ai fais le tour, les bulles n’ont pas de vies intéressantes, pas pour moi. Je suis pas spécialiste des bulles, je ne pense pas qu’il existe des bus à bulles, des brosses à dents à bulles, des maisons à bulles, des toboggans à bulles, des bagues à bulles, des pulls à bulles, non je ne crois pas. Mais bon, on a la Fée Clochette, Peter Pan, Tarzan & Jane, Roméo et Juliette, donc pourquoi pas un monde de bulles ? 

 

Les bulles, c’est trop complexe en fait. Trop compliqué. Faut avoir bac +7 pour comprendre leur mode de vie. Moi je suis en seconde, je ne suis pas là pour étudier les bulles, du moins pas encore.

 

Mais ça soulève une nouvelle question, est-ce que les chômeurs sont des bulles ? Ah, ça … Oui, non, peut-être … Je ne dis rien, je ne sais pas, je ne connais pas tous les chômeurs, je ne connais même pas tous les gens de ma classe alors ce n’est pas pour aller plus loin que les gens du lycée pour l’instant. Ce ne serait pas non plus mon délire de connaître tout le monde. Je … raconte trop ma vie là ! Faut m’arrêter un moment ! Tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, tu lis, encore et toujours, again & again. Pas d’anglophone dans la salle ? Pas d’anglophone dans la salle. 

 

MORALE : Quand je parle, faut m’arrêter. Bref, une bulle est une fille facile, on se comprend.



22/03/2014
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